UE2 - Corps, Sport, Socialisation

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CM1                                                    Sociologie                                  Mme FORTE

 

 

 

CHAPITRE I.

INTRODUCTION AU COURS DE SOCIOLOGIE

 

I. PREAMBULE

 

1. Quelques repérages

 

(8 cours en CM, pas de TD à évaluation 100% terminale.)

 

Evaluation : 1 ou plusieurs questions de cours à traiter en 1h

 

Utiliser les bons mots (pas de synonymes, mots similaires…)

 

TD de tutorat en sociologie pour s’entraîner. (s’inscrire)

 

Objectifs de ce cours :

-         sur le plan culture générale, cet enseignement a pour but de parfaire, d’améliorer, de rendre plus juste la vision du monde dans lequel nous vivons.

-         sur le plan formation étudiante et professionnelle, nous aide à mieux comprendre les milieux professionnels dans lesquels nous voulons nous insérer pour être plus efficace dans le choix que l’on fera.

 

2.  Le cours

Il se fait en 3 chapitres :

1. Introduction à la sociologie à définition, qu’est ce que la socio ? Comprendre la socio…

2. Pratiques sportives des français à photographie des pratiques sportives des français (hommes, femmes, ados, urbains…) le sport est un terme polysémique.

3. Le sport comme fait social total (Marcel MAUSS) à sport en interrelation avec d’autre espaces de la vie sociale, relation sport-politique-média réciproque (relation dialectique).

 

 

II- DEFINITION DE LA SOFROLOGIE

 

1.     La science des sociétés

La sociologie appartient à un grand groupe de sciences, les SHS (Sciences Humaines et Sociales) qui regroupes, entre autres, la sociologie, la psychologie, philosophie, histoire, anthropologie, ethnologie, économie, sciences politiques…

Sur le plan étymologique la sociologie signifie « sens des société » (« socio » = société, « logie » = sciences des connaissances, savoir)

Son objectif est d’étudier la naissance des groupes sociaux, leurs organisations, les types de relations que ces groupes sociaux entretiennent entre eux et également l’influence que tout cela va avoir sur les comportements individuels.

La sociologie s’intéresse sur les relations dialectiques qu’il y a entre la société et les individus qui la composent.

La socio sert à décrire comment les choses ce passent dans une société donnée, pourquoi elles se passent comme ça et pas autrement ? Et comment les individus vivent, perçoivent, reçoivent, les évènements qui se passent comme ça et pas autrement ? Sont-ils soumis….

 

  Société                               individus

(dialectique

déterminée)

 

2.     Une science « récentes »

 

Le terme sociologie a été inventé au XIXème siècle mais le principe de s’interroger sur le fonctionnement des sociétés est très anciens car chez les premiers penseurs de la Grèce Antique, les premiers penseurs de l’islam, et les philosophes des lumières comme Montesquieu.

On considère que c’est une science récente car ce terme a été inventé par Auguste COMTE (XIXème siècle).

 

A partir de là, la sociologie va se développer très rapidement en France et en Europe, lié à 2 principaux facteurs :

- au XIXème siècle, les sciences, en générale, vont se développer d’une manière générale, donc la sociologie va se développer sur ce courant. La première chaire (enseignement reconnue à l’université) de sociologie a été attribué à Emile DURKHEIM en 1887.

- Les mutations très importantes que connaissent les sociétés occidentales du XIXème siècle (l’industrialisation, l’exode rural). Apparitions de classes sociales (classe ouvrière très importante). Ces nouvelles populations vont inquiéter les classes dirigeantes qui vont avoir besoin de la sociologie pour mieux les comprendre, pour mieux les contrôler

Cette classe ouvrière émergeante est perçue par les classes dirigeantes comme un péril pour l’ordre social en France.

 

3.     Se détacher du « sens commun » et des « a priori »

 

La sociologie est aux antipodes des « a priori »

 

Quelques thèmes abordés en sociologie :

Le sport est il vecteur d’intégration ?

Le système scolaire permet-il la réussite pour tous ?

 

La sociologie est une science qui permet de rompre avec tous les « a priori », ce que DURKHEIM appel le « sens commun » (un ensemble de préjugés, d’impressions et de jugements de valeur…)

La sociologie permet de justifier le regard que l’on porte spontanément sur les phénomènes sociaux et de comprendre les mécanismes qui ont permis de biaiser nos regards.

 

 

 

La sociologie a donc deux visées :

à Descriptive, faire une enquête scientifique, décrire rigoureusement ce que l’on voit, ce qui se passe…

= empirique

à Explicative, pourquoi a-t-on des « à priori », la production de connaissance

= heuristique (logique)

 

 

► Les enquêtes en sociologie :

 

-         On part d’une question

 

  1. de la question à l’hypothèse

Exemple : le système scolaire français = la réussite de tous ?

On fait une revue de la question.

Lire les enquêtes qui ont traité cette question.

De cette lecture on choisit un angle d’approche, on forme une hypothèse (=affirmation, pas question)

Hypothèse que l’on vérifie par la suite.

 

  1. de l’hypothèse au résultat

On fait une enquête.

Pour l’établir on a plusieurs manières/méthodes.

Méthode qualitative et quantitative

- Quantitative : enquête par questionnaire, par écrit ou par téléphone. Ou contage d’individus.

Cette technique amène à utiliser la méthode de la statistique.

- Qualitative : méthode par observation par exemple. Observation participante ou le sociologue va se mélanger aux gens pour mieux comprendre les logiques qui  les poussent à agir. (+ intime, sujet tabou, donnés plus exactes…)

Enfin la méthode par entretient, comme une interview ou on amène les gens que l’on questionne à parler des thèmes du questionnement.

On peut aussi étudier sur le plan qualitatif une photo, une image. (ex : publicité)

 

  1. des résultats à l’interprétation des résultats.

Amène à VALIDER, NUANCER, REFUTER l’hypothèse posée.

 

4.     La paradigmes Holiste et Atomistique

 

Un paradigme est un modèle théorique de pensée qui propose des cadres conceptuels qui vont orienter l’analyse du chercheur.

 

  1. Présentation schématique.

Pour simplifier on dit qu’il existe 2 grands paradigmes en sociologie, c’est-à-dire 2 manières de penser la société.

Ce qui distingue ces 2 manière c’est ce qui doit être premier dans les processus sociaux étudiés.

Paradigmes Holistes : la société influe sur les actions individuelles

 

  Paradigmes Atomistique : la société est le produit des actions individuelles (l’individu influence la société)

   

 

 

 

CM2

 

 

                         Holiste

Société                                    Individu

                      Atomistique

 

Paradigme Holiste :

On va considérer la société comme un tout et on va considérer à partir de là qu’on ne peut pas comprendre les comportements des individus si on ne les replace pas dans leur contexte global.

Quand on est partisan de ce paradigme holiste, que les individus subissent des contraintes sociales, des déterminismes qui les dépassent.

Dans le paradigme holiste : Individus = agents

On considère donc que la société se reproduit.

Ce paradigme nie la part de choix qui existe toujours dans l’espace social.

 

Paradigme Atomistique :

On va considérer que ce sont les actions individuelles qui modèle et qui transforme la société.

Dans ce paradigme : individus = acteurs.

Ces acteurs agissent en fonction de choix et de stratégie qui leurs sont propres.

Les individus fabrique donc la société.

Ce paradigme considère que les individus sont des êtres rationnels qui calculent le coût et le bénéfice de tel ou tel activités/opportunités.

R. BOUDON et H. BECKER

Les principales critiques que l’on peut attribuer à ce paradigme est que les individus n’exercent pas toujours leur rationalité.

 

 

  1. Illustration appliquée à la sociologie de l’éducation.

 

Nous allons partir d’une enquête sur les inégalités de réussite scolaire en fonction de l’origine sociale des individus.

 

 On a beaucoup plus de chance de réussir dans le milieu scolaire et à l’université quand on vient d’un milieu social élevé.

 

Marie DURU BELLAT en 1997 à étudier les taux d’entrée en seconde générale en fonction des origines sociale.

76% des enfants issus des Catégorie Sociaux Professionnelle (CSP) accèdent à une 2nde générale.

Les enfants issus de classes moyennes sont 47% à accéder à une 2nde générale.

Parmi les enfants issus de classes populaires il y a seulement 29% qui accède à la « voie royale ».

 

En France il y avait « l’école des riche » et « l’école des pauvre » jusqu’en 1950.

Avant dans les classes populaires les enfant allaient en cours jusqu’à 11-13ans après l’obtention du brevet d’étude.

Dans les classes favorisées on allait jusqu’à l’université.

En 1958 toute une série de réforme dont « l’unification » on conduit à une démocratisation du système éducatif français (ex : depuis 1958 l’école est obligatoire jusqu’à 16ans). Ce qui va instaurer une logique de méritocratie c'est-à-dire que ce qui va être valorisé est la capacité de travail, les capacités intellectuelles…

 

 

Comment peut on expliqué ces inégalité de réussite à l’école ?

 

Cf : tableau 2

 

Holiste :

Pour les holistes, le système scolaire reproduit la domination économique et symbolique des classes dominantes. C’est pour cette raison la que la société se reproduit.

Le rôle de l’école est de transmettre une culture. Hors l’école va sélectionner les éléments qui vont être enseigné et là est tout le problème.

Exemple : Au niveau des langue, l’anglais l’espagnol et l’allemand  sont valorisé

 Culture intellectuelle est valorisé par le système scolaire français par rapport aux       cultures manuelles.

 

La culture scolaire est loin d’être neutre. Dans la mesure ou l’école impose les matières.

 

        

                                      Volume du capital

  

 

 

 

Capital culturel (+)                                             capital économique (+)

                                                                                                      

 

 

 

 

La réussite inégale des élèves et des étudiants est liée à la fois à la structure et au volume, du capital culturel évité.

 

 

Atomistique :

R. BOUDON va mettre l’accent sur le choix des familles et des individus confrontés à des contraintes sociales, d’après lui l’acteur choisit son orientation avec une certaine liberté, et il essai de tirer le maximum de profits de ses qualités et de ses capacités. 

Pour lui les individus et leur famille sont des êtres rationnels qui vont chercher à maximiser leurs bénéfices en calculant les coûts et les bénéfices qui s’offrent à eux.

Il explique que les inégalités de réussite scolaire sont le fait que les acteurs exercent leur rationalité économique.

 

 

 

 

 

CHAPITRE II.                       

LES PRATIQUES « SPORTIVES » DES FRANÇAIS.

 

I- Qu’est ce que le sport ?

 

Pour commencer le chapitre on va définir le sport.

On va décider d’inclure et d’exclure un certain nombre de pratiques pour pouvoir définir le sport. Car si certaines activités ne posent pas de problème (football, rugby, tennis…) d’autre sont plus litigieuses (billard, pétanque…). Par exemple, le billard est reconnu comme sport en Angleterre mais pas en France.

C’est selon les personnes, la culture, que l’on classe ou pas les activités comme sport.

 

On va se poser la question de savoir si l’on peut fournir une définition précise et unique du sport ?

 

1.     Faut il parler du sport ou des sports ?

 

Le sport regroupe un ensemble d’actions + ou – large, la manière dont on le définit a évolué au cours de l’histoire.

 

Le sport tel qu’on le connaît aujourd’hui est une pratique qui est né dans la société anglaise de la fin du XVIIIème et début XIXème siècle. A cette époque la manière dont on définissait le sport dans cette société, était extrêmement large puisqu’on considérait que le sport renvoyait à tout type de divertissement dans lequel un individu met à l’épreuve son courage, sont habileté, son adresse, ou encore sa force. 

 

Au XXème siècle, la définition du sport a évolué dans le langage courant sous l’influence des fédérations sportives qui se développent et se structurent.

Ce développement va influencer très fortement la manière dont on définie le sport. La définition du sport va désormais intégré des aspects compétitifs et institutionnels :

On retrouve cette définition dans le grand Larousse 1964 où le sport est défini comme l’ « ensemble des exercices physiques se présentant sous formes de jeux individuels ou collectifs donnant généralement lieu à compétition, pratiqués en observant certaines règles précises et sans but utilitaires immédiat ».

Le Comité National Olympique du Sport Français (CNOSF), 1994, définit le sport autrement : « Pour qu’il y est sport, il faut qu’il y ait un engagement corporel inscrit dans un affrontement ou une compétition instituée […] Est défini comme sport la seule pratique compétitives, licenciée c'est-à-dire dans l’institution qui fixe les règles du jeu et définit l’éthique à respecter.»

 

 

 

CM 3

 

 

Dans cette définition du CNOSF on retrouve 3idées :

-         Pour qu’il y ait sport il faut qu’il y ait un effort physique.

-         Pour qu’il y ait sport, il faut qu’il y ait compétition, règles et recherche de performances.

-         Pour qu’il y ait sport il faut qu’il y ait une institution et que vous pratiquiez dans des espaces dédiés.

Si cette définition du CNOSF est souvent la définition du sport à laquelle nous adhérons en temps qu’étudiants STAPS, il ne faut pas perdre le vue le fait que cette définition ne correspond pas nécessairement à la manière dont la majeure partie de la population française définit le sport.

Cette définition du CNOSF a été socialisée par les entraîneurs de club et les fédérations.

Pour certaines personnes, pour qu’il y ait sport il suffit jusque qu’il y ait un effort physique. A partir de là faire un jogging est un sport, de la même manière que la marche rapide, pour une personne âgée.

Idem pour certains qui pensent que participer à une compétition est du sport (match sur console de jeu comme la Wii…)

D’autres considère qu’il y a sport à partir du moment ou l’on est inscrit dans une logique de sculpter son corps, esthétique (PowerPlate).

 

Finalement en sociologie on considérera qu’il n’existe pas une définition unique du sport. Le sport est un terme polysémique.

On aura l’habitude de voir qu’en fonction des caractéristiques sociales des individus, la manière de définir ce qui est sport ou ce qui n’est pas sport, va fortement varier.

Par exemple il y a des variations de goût en fonction du sexe, de l’âge, Catégories Socio-Professionnels (CSP)

 

 

1.     Les enjeux de la définition du sport.

 

Cf : figure 2 à L’autonomisation de l’espace sportif

 

Les difficultés que l’on rencontre lorsque l’on souhaite donner une définition du sport tiennent au fait que le monde sportif fonctionne comme un « champ ».

 

Pierre BOURDIEU définit les champs comme un espace historiquement construit et relativement autonomes du monde social, qui dispose de ses propres normes, de ses propres codes, et dans lequel les agents déploient des stratégies autour d’un ou de plusieurs enjeux.

 

Il y a un intrus dans la phrase, le terme stratégie induit la vision atomistique.

 

Holiste -----|------------------------------- Atomistique

            BOURDIEU

 

!!!  Il n’y a pas d’extrême c’est inconcevable. !!!

 

Un champ est un espace historiquement construit et relativement autonome du monde social

Ce qu’on appel le sport aujourd’hui sont des activités qui à l’origine se pratiquait dans un autre domaine de la vie social et qui remplissaient des fonctions sociales bien spécifiques. En ce sens les activités qui ont donné naissances au sport était des activités dites utilitaires, c'est-à-dire qu’on pratiquait dans un but qui n’était pas de se faire plaisir mais pour leur fonction sociale.

Exemple : militaire, ou

Le rugby qui était la « soule » était joué par les habitants d’un village les jours de « joie » pour être reconnue par les autres villages.

 

Puis progressivement les sport vont s’autonomisé du monde sociale qui les a créé (sport de combat va se séparer du monde militaire). Cette idée d’autonomisation des champs sportifs est variable en fonction des époques.

Le champ sportif s’éloigne de plus en plus du monde médical

 

Un champ c’est un espace qui dispose de ses propres normes, codes, et dans lequel des agents déploient des stratégies autour d’un ou de plusieurs enjeux en fonction des intérêt des un et des autres, la façon de ce que peut être le sport peut varier.

 

Définitions de Pierre BOURDIEU.

Au XIXème siècle la façon de penser de ce qui était le sport était clivé, on ne pouvait pas pratiquer certains sports ensemble.

La bourgeoisie et la noblesse revendiquaient la pratique d’un sport amateurs, il fallait laisser le sport professionnel aux classes pauvres, le sport professionnel qualifié de « spectacle » était vulgaire.

Il y a un processus de distinction, qui va permettre de distinguer les différentes classes.

Ce que montre P. BOURDIEU c’est qu’il y a toujours une même dynamique, les classes populaires essaient de s’approprier les pratiques des classes dominantes, et les classes dominantes trouvent toujours un moyen pour se distinguer avec de nouvelles pratiques.

 

Il y a également 2 grandes catégories d’enjeux qui vont organiser et structurer les luttes au sein du champ sportif :

-         enjeux économiques, sociaux, ou politiques, qui vont viser à capter un nouveau public, des nouveaux clients, pour leurs vendre du spectacle sportif, des produits sportifs, ou alors capter de nouveaux sportifs pour arriver à capter des subventions étatiques.

-         enjeux symboliques, qui vont renvoyer à des fondements idéologiques, moraux, identitaires, qui passent  par le fait d’imposer ses valeurs et son rapport au corps.

 

Si l’on veut offrir une pratique à la classe populaire, il faut qu’il y ait lutte de corps, contact, implication corporelle… Pour la classe dominante il faut mettre une distance (filet de tennis…).

 

Cette définition du CNOSF fait le jeu des fédérations sportives qui sont d’ailleurs rattachés aux CNOSF, mais dans le même temps cette définition exclue un très grand nombre de pratiques qui ont pourtant cours dans la société (ce qu’on appel des pratiques « libre » ou « sauvages ») et qui sont pourtant très nombreuses.

Ex : Sports de glisse…

 

Ces pratiques sauvages ce sont construites autours d’un processus d’inversion symbolique. Car ces pratiquant vont à la fois vouloir être reconnu comme sportifs, mais en même temps ils vont insister sur le fait que leurs pratiques n’ont rien à voir avec les valeurs du sport traditionnel. Ils vont rompre avec les règles, les contraintes…

 

Maintenant qu’on sait qu’il y a plusieurs définitions du sport on va s’intéresser aux résultats de différentes enquêtes sociologiques qui vont nous permettre d’observer des variations de goût sportifs qu’on soit sur les types de pratiques ou les modalités de pratiques en fonction des classes sociales, du sexe ou de l’age des individus.

 

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C
Blog(fermaton.over-blog.com),No-22. - THÉORÈME OMÉGA.- La Science des Sciences.
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A
<br /> Bonjour,<br /> Super travail! Mais j'ai aussi vu la faute à sofrologie;-)<br /> Sais-tu quelle type d'épreuve est prévue pour le partiel?<br /> Merci beaucoup!<br /> <br /> <br />
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T
<br /> juste comme ça stu veux corriger... ton grand II du cm1 t'es trompé: "sofrologie" que tu peux changer en sociologie !! ^^ (comme quoi la preuve qu'on lit ;p )<br /> sinon super idée, et surtout trés simpa de le faire !!<br /> <br /> ton taff sera respecté tkt (c cencio qui m'a donné l'adresse c pour compléter nos cours)<br /> <br /> <br />
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